Julio Sosa - Volvió una noche
Volvió una noche, no la esperaba,
había en su rostro tanta ansiedad
que tuve miedo de recordarle
su felonía y su crueldad. Me dijo humilde: "Ay, si me perdonas,
el tiempo aquel otra vez volverá.
La primavera es nuestra vida,
verás que todo nos sonreirá" Estribillo:
Mentira, mentira, yo quise decirle,
las horas que pasan ya no vuelven más.
Y así mi cariño al tuyo enlazado
es sólo un fantasma del viejo pasadoJulio Sosa - Volvió una noche - http://motolyrics.com/julio-sosa/volvio-una-noche-lyrics-french-translation.html
que ya no se puede resucitar. Callé mi amargura y tuve piedad.
Sus ojos azules, muy grandes se abrieron,
mi pena inaudita pronto comprendieron
y con una mueca de mujer vencida
me dijo: "Es la vida". Y no la vi más. Volvió una noche, nunca la olvido,
con la mirada triste y sin luz
que tuve miedo de aquel espectro
que fue locura en mi juventud. Se fue en silencio, sin un reproche,
busqué un espejo y me quise mirar.
Había en mi frente tantos inviernos
que también ella tuvo piedad. {Estribillo}
Julio Sosa - Elle est revenue un soir (French translation)
Elle est revenue un soir , je ne l'attendais pas
il y avait sur son visage tant d'anxiété
que j'ai eu peur de lui rappeler
sa félonie ainsi que sa cruauté.
Elle m'a dit humblement:"ay si tu me pardonnes,
le bon vieux temps sera de retour
Le printemps est notre vie, tu verras, tout nous sourira"
Refrain
Mensonges, mensonges j'ai voulu lui dire
les heures passées ne reviennent plus.
Ainsi mon affection à la tienne enlacée (liée)
n'est qu'un fantôme d'un passé lointain
que l'on ne peut plus resusciter.
J'ai tu mon amertume et j'ai eu pitié.Julio Sosa - Volvió una noche - http://motolyrics.com/julio-sosa/volvio-una-noche-lyrics-french-translation.html
Ses yeux bleux s'ouvrirent tout grands
ils comprirent ma peine innouie
et avec la moue d'une femme vaincue
elle repliqua:"c'est la vie" Et je ne l'ai plus revue.
Elle est revenue un soir, je ne l'oublierai jamais,
le regard triste et sombre
j'ai eu peur de ce spectre
qui fut folie dans ma jeunesse.
Elle s'en alla en silence, sans un reproche
j'ai cherché un miroir et j'ai voulu me regarder.
Sur mon front il y avait tant d'hivers
qu'elle aussi se prit de pitié pour moi.
Refrain