Les Amazones Lyrics

(Pascal Consoli/Diego Dari/Matthew Marston/Andrew Noonoo/Louise Rose)
adaptation française Cyril Belaïsch

Et quand la ville, le soir, ferme les yeux
Nous prenons le contrôle des lieux
Ici, toutes les nuits, c'est notre territoire
Les lois du jeu, on les fixe dans le noir
Nous sommes pour les hommes, nouvelles amazones
La seule tribu de femmes, maîtresses du macadam, prêtresses de charme
Vos larmes ne feront pas baisser nos armes

On ne fait pas de prisonnier car un homme ne vaut guère
Guère plus qu'un homme et c'est à la guerre comme à la guerre
Nous, les femmes au coeur de lionne
Les coups de griffe, on vous les donne
Et jusque dans les terres les plus arides, les amazones décident

Oiselles de nuit, demoiselles aussi, attirées par tout ce qui brille
On sillonne les bars, terrains de chasse à part
Sur nos gardes, prêtes pour un nouveau départ
M'harcèlent, m'ensorcellent ceux qui nous rappellent
Accablés de textos, les hommes sont cibles de nos menaces de mots
Nous sommes les héritières des amazones
Mais qu'est-ce qu'une amazone sans homme ?L5 - Les Amazones - http://motolyrics.com/l5/les-amazones-lyrics.html

On ne fait pas de prisonnier car un homme ne vaut guère
Guère plus qu'un homme et c'est à la guerre comme à la guerre
Nous, les femmes au coeur de lionne
Les coups de griffe, on vous les donne
Et jusque dans les terres les plus arides, les amazones décident
On ne fait pas de prisonnier car un homme ne vaut guère
Guère plus qu'un homme et c'est à la guerre comme à la guerre
Nous, les femmes au coeur de lionne
Les coups de griffe, on vous les donne
Et jusque dans les terres les plus arides, les amazones décident

Do you wanna go faster ? Yeah, yeah
Do you wanna go faster ? Yeah, yeah
Do you wanna go faster ?
Do you wanna go faster ?

On ne fait pas de prisonnier car un homme ne vaut guère
Guère plus qu'un homme et c'est à la guerre comme à la guerre
Nous, les femmes au coeur de lionne
Les coups de griffe, on vous les donne
Et jusque dans les terres les plus arides, les amazones décident

M'ensorcellent tant, nous sommes pour les hommes.