Silvio Rodriguez - La Familia, La Propiedad Privada Y El Amor
El derrumbe de un sueño, algo hallado pasando
Resultabas ser tú. una esponja sin dueño
Un silbido buscando, resultaba ser yo. Cuando se hallan dos balas sobre un campo de guerra
Algo debe ocurrir ...
Que prediga el amor de cabeza hacia el suelo
Una nube vendrá o estampidas de tiempo
Los ojos tendrán. Fue preciso algo siempre y no fue porque tú
Tenías lazos blancos en la piel
Tú, tenías precio puesto desde ayer
Tú, valías cuatro cuños de la ley
Tú sentada sobre el miedo
Sentada sobre el miedo
De correr. Una buena muchacha de casa decente no puede salir
Que diría la gente el domingo en la misa
Si saben de tí, que dirían los amigos
Los viejos vecinos que vienen aquí Qué dirían las ventanas,
Tu madre y su hermana y todos los siglos
De colonialismo español que no en baldeSilvio Rodriguez - La Familia, La Propiedad Privada Y El Amor - http://motolyrics.com/silvio-rodriguez/la-familia-la-propiedad-privada-y-el-amor-lyrics-french-translation.html
Te han hecho cobarde, qué diría dios
Sin amas sin la iglesia y sin la ley
Dios, a quien ya te entregaste en comunión
Dios, que hace eternas las almas de los niños
Que destrozarán las bombas y el napalm. El derrumbe de un sueño
Algo hallado pasando resultaba ser tú.
Una esponja sin dueño
Un silbido buscando resultabas ser yo.
Busca amor con anillos
Y papeles firmados y cuando dejes de amar... Ten presentes los hijos
No dejes tu esposo ni una buena casa
Y si no se resisten serruchen los bienes
Que tienes derecho también, porque tú
Tenías lazos blancos en la piel
Tú, tenías precio puesto desde ayer
Tú, valías cuatro cuños de la ley
Tú, sentada sobre el miedo
De correr.
Silvio Rodriguez - La famille, la propriété privée et l'amour (French translation)
L'écroulement d'un rêve, quelque chose qu'on trouve en train de passer,
Cela s'est avéré être toi. Une éponge sans maître,
Un sifflement qui cherche, Cela s'est avéré être moi.
Lorsqu'on trouve deux balles sur un champs de guerre
Quelque chose doit se passer...
Quoique prédise l'amour, la tête penché vers le sol,
Un nuage viendra ou des débandades de temps
Les yeux viendront.
Il y a toujours eu quelque chose de nécessaire, et non pas parce que
Tu avais des rubans blancs sur la peau
Ton prix était fixé depuis hier
Tu valais quatre étampes de la loi
Toi, assise sur la peur,
Assise sur la peur
De fuir.
Une jeune fille de famille décente ne peut pas sortir
Que diraient les gens le dimanche à la messe
S'ils savaient pour toi, que diraient les amis
Les vieux voisins qui viennent ici
Que diraient les fenêtres,
Ta mère et sa seur et tous les siècles
De colonialisme espagnol qui, non en vain,Silvio Rodriguez - La Familia, La Propiedad Privada Y El Amor - http://motolyrics.com/silvio-rodriguez/la-familia-la-propiedad-privada-y-el-amor-lyrics-french-translation.html
T'ont rendue lâche, que dirait Dieu
Si tu aimes sans l'église et sans la loi
Dieu, à qui tu t'es déjà donnée en communion
Dieu qui rend éternelles les âmes des enfants
Que détruiront les bombes et le napalm.
L'écroulement d'un rêve,
Quelque chose qu'on trouve en train de passer, cela s'est avéré être toi.
Une éponge sans maître,
Un sifflement qui cherche, cela s'est avéré être moi.
Cherche l'amour avec des anneaux
Et des papiers signés et quand tu n'aimeras plus...
N'oublie pas tes enfants,
Ne laisses pas ton époux ni une belle maison
Et s'ils ne résistent pas, qu'ils scient les biens
Toi aussi tu as des droits, car toi,
Tu avais des rubans blancs sur la peau
Ton prix était fixé depuis hier
Tu valais quatre étampes de la loi
Toi, assise sur la peur
De fuir.