Tan Bionica - Pétalos
Lo poco de este abril, fugandose de mí
El agua de la lluvia oxida el sol de mi país,
Tratando de oprimir mi roto porvenir,
El cuento del destino no lo puedo reescribir. Tratándose de vos, tratandose de mi,
Tratándose de noches enteras sin dormir. Los años que perdí, pasaron sin pesar,
Los chicos de mi barrio leen libros para atrás.
Persigo una verdad, escrita en un papel,
De un sueño amenazado como el cielo de Babel. Tratándose de vos, tratandose de mi,
Tratándose de historias de enanos de jardín. Mi punto de partida,
Los años de mi vida.Tan Bionica - Pétalos - http://motolyrics.com/tan-bionica/petalos-lyrics-french-translation.html
Puse te extraño tanto en el diario del espanto. Cuando mis horas queman
Lloran las macarenas,
Penas arrabaleras,
Pétalos de flores de alelí. Prendido a este congojo
Pasé mis años locos
Y un triste desencanto,
Soñaba pianos blancos. De noche en las veredas
Damas cambalacheras
Dejaban comedidas
Algo de sus vidas para mi.
Tan Bionica - Pétales (French translation)
Le peu de cet avril qui s'évade de moi
L'eau de pluie rouille le soleil de mon pays,
En essayant d'opprimer mon avenir brisé,
Je ne peux pas réécrire le conte du destin.
S'agissant de toi, s'agissant de moi,
S'agissant de nuits entières sans dormir.
Les années que j'ai perdues sont passées sans peser,
Les enfants de mon quartier lisent des livres en commençant par la fin.
Je poursuis une vérité écrite sur un papier,
D'un rêve menacé comme le ciel de Babel.
S'agissant de toi, s'agissant de moi,
S'agissant d'histoires de nains de jarin.
Mon point de départ,
Les années de ma vie.Tan Bionica - Pétalos - http://motolyrics.com/tan-bionica/petalos-lyrics-french-translation.html
J'ai écris "tu me manques tant" dans le journal d'épouvante.
Quand mes heures brûlent
Les vierges pleurent,
Peines de la plèbe,
Pétales de fleurs de giroflée.
Pris dans cette angoisse
J'ai passé mes années folles
Et un triste désenchantement,
Je rêvais de pianos blancs.
La nuit sur les sentiers
Des dames de brocante serviables
Laissaient
Un peu de leurs vies pour moi.