Vintage - Devochki-lunatiki
Мокрый асфальт, фары в глаза --
 Здесь нету "можно" и нету "нельзя".
 Все мы дочки городов, маленьких своих миров. Слепит глаза глянцевый свет,
 И я -- третяя справа, а шестой уже нет.
 И одна на всех история невесёлая, -- новосёлы мы. В столице настежь окна, девочки-лунатики...
 Слёзы-водка, расшибёт на фантики --
 Босиком по стёклам млечного пути. В столице настежь окна, девочки-лунатики...Vintage - Devochki-lunatiki - http://motolyrics.com/vintage/devochki-lunatiki-lyrics-french-translation.html
 Детство сдохло, расплетаем бантики --
 Я на всё согласна, кроме любви. Стразы-глаза, -- проще закрыть.
 Всё сделать как надо, закурить и забыть...
 За спасибо их бумажное -- всё исполнено, и неважно мне. Домой позвонить -- маме сказать,
 Что идёт всё как надо, можно только мечтать.
 Тут одна на всех история -- территория, поле боя -- я.
Vintage - Jeunes filles somnambules (French translation)
L'asphalte mouillé, les phares dans les yeux
 Ici rien n'est autorisé et rien n'est interdit
 Nous sommes toutes des filles des villes, de nos petits mondes.
La lumière lustrée aveugle les yeux
 Et je suis la troisième en partant à droite, et il n'y a déjà plus de sixième
 Et c'est la même histoire triste pour toutes, nous sommes des déracinées.
Dans la capitale, les fenêtres grandes ouvertes, les jeunes filles somnambules
 Larmes-vodka, ça brise en emballages de bonbons
 Pieds nus sur les carreaux de la voie lactée.
Dans la capitale, les fenêtres grandes ouvertes, les jeunes filles somnambulesVintage - Devochki-lunatiki - http://motolyrics.com/vintage/devochki-lunatiki-lyrics-french-translation.html
 L'enfance a crevé, nous défaisons les noeuds papillons
 Je suis d'accord pour tout sauf l'amour.
Yeux-strass, fermer plus simplement
 Tout faire comme il faut, allumer une cigarette et oublier
 Pour leur merci de papier, tout a été exécuté, et pour moi ça ne fait rien.
Appeler à la maison, dire à maman
 Que tout va comme il faut, qu'on ne peut rêver mieux
 Ici c'est la même histoire pour toutes - le territoire, le champ de bataille c'est moi.
