Marc Almond - Widow Weeds
She draped herself in widow weeds
Veil of black and buttoned sleeves
Hid her face from the world
A shadow where once had been a girl
Her husband of past twenty years
Had passed away leaving her in tears
Heart full of the future's fears
She kneels beside his grave
Where should be colour every day
Just widow weeds, her friends all say
"please stop your tears and throw away
Those widow weeds of black and grey"
Then she did wail a chilling sound
Beat her fists and hit the ground
She moaned his name, she pulled her hair
She chanted verse and muttered prayer
How could a man so just, so good
Leave her a widow like he could
Where should be colour every day
Just widow weeds, her friends all say
"please stop your tears and throw away
Those widow weeds of black and grey"
And deep within chador of lace
The deep etched sorrow on her face
This madonna in her cowl of grief
Subservient in her belief
Then came the reading of the will
Grief had hold within her still
But unable to believe her ears
She stopped her sobbing, halted tears
Marc Almond - Widow Weeds - http://motolyrics.com/marc-almond/widow-weeds-lyrics-french-translation.html
Not a penny, not a pound
No provision to be found
Not a thought of recognition
The will was read with cold precision
Anger jumped up in her breast
Well maybe this was for the best
Even as the will was blessed
She tore away her veil
Tears of rage to tears of joy
No more grief from death's envoy
No more weeping, gnashing teeth
No more prostrate with grief
She thought he loved her
So sure he loved her
She thought he loved her
So sure he loved her
But all his treasure all his wealth
Just signify love for himself
Just signify love for himself
The chador fell unto the earth
Witness a woman's rebirth
Witness a woman's rebirth
She exorcised grief's ugly demon
With a new found sense of freedom
Where should be colour every day
Just widow weeds, now she can say
She stopped her tears and threw away
Those widow weeds of black and grey
Marc Almond - Habits de deuil (French translation)
Elle s'est enveloppé dans ses habits de deuil,
Un voile noir et manches boutonnées
Elle a caché au monde son visage,
Une ombre là où se trouvait autrefois une fillette
Son mari des vingt dernières années
S'est éteint, la laissant en larmes
Son coeur est rempli de ses craintes pour l'avenir
Elle s'agenouille près de sa tombe
Là où devrait se trouver la couleur du jour,
Il n'y a que des habits de deuil, tous ses amis lui disent
"S'il te plaît, cesse de pleurer et débarrasse-toi
De ces habits de deuil noir et gris"
Puis elle a laissé échapper un son à glacer le sang,
A brandi les poings et frappé le sol
Elle a gémis son nom, tiré ses cheveux
Elle chantait des couplets et marmonnait des prières
Comment un homme tellement bon a-t-il pu
Disparaître et la laisser ainsi veuve
Là où devrait se trouver la couleur du jour,
Il n'y a que des habits de deuil, tous ses amis lui disent
"S'il te plaît, cesse de pleurer et débarrasse-toi
De ces habits de deuil noir et gris"
Et enfoui sous la dentelle tchador,
Le chagrin est profondément gravé sur son visage
Cette madone sous sa capuche de tristesse,
Servile de par sa foi
Puis est venue la lecture du testament,
La tristesse avait toujours emprise sur elleMarc Almond - Widow Weeds - http://motolyrics.com/marc-almond/widow-weeds-lyrics-french-translation.html
Mais, incapable d'en croire ses oreilles,
Elle cessa ses sanglots et ses secousses de larmes
Pas un sou, pas une livre
Aucune réserve a découvrir
Pas même une lueur de reconnaissance
Le testament fut lu avec une froide précision
La colère explosa dans sa poitrine
Et bien, peut-être était-ce mieux ainsi
Bien que le testament ait été béni,
Elle déchira son voile
Des larmes de rage aux larmes de joie
Plus de tristesse causée par l'émissaire de la Mort
Plus de sanglots, de grincements de dents
Plus de prosternations empreintes de tristesse
Elle croyait qu'il l'aimait,
Elle était tellement certaine qu'il l'aimait
Elle croyait qu'il l'aimait,
Elle était tellement certaine qu'il l'aimait
Mais tous ses trésors et sa richesse
N'étaient en fait qu'un amour de soi
N'étaient en fait qu'un amour de soi
Le tchador est tombé au sol,
Témoin de la renaissance d'une femme
Témoin de la renaissance d'une femme
Elle a exorcisé l'horrible fantôme de la Tristesse
Grâce à un nouveau sens de la liberté
Là où devait se trouver la couleur du jour,
Il n'y avait que des habits de deuil, maintenant elle peut dire
Elle a cessé de pleurer et s'est débarrassé
De ces habits de deuil noirs et gris