Ma?tresse ?lizabeth Lyrics

je suis tann? de gaspiller quarante heures perdues par semaine
? ruiner ma pauvre sant?
pour enrichir ma semaine prochaine
je ne veux plus aller perdre mon temps dans le simple but de gagner ma vie
je ne veux plus penser ? l'argent c'en est rendu une maladie
je suis anti-mat?rialiste le mat?riel attire le mal
je n'ai pas besoin de me faire une liste de ce que ?a me prend pour ?tre normal
je suis allergique ? la routine ? tout ce qui est recommen?ant
?a me rend compl?tement bottine d'?tre obliger de faire l'inconscient (d'?tre obliger de faire l'inconscient)

mais plus ?a va et plus j'en ai de ces responsabilit?s (de ces responsabilit?s)
qui me forcent ? aller travailler qui m'obligent ? arr?ter de jouer
et depuis le d?but des temps nous sommes esclaves de l'argent
qui nous m?ne par le bout du nez
par des maudits morceaux de papier
l'?tre humain n'est pas une machine programm? ? trop travailler
faut pas attendre la d?prime
il y a des fois o? il faut arr?ter
la pauvret? n'est qu'un mot que les riches ont invent?
pour se distinguer des autres pour ?tre au dessus de la soci?t?
riche en argent pauvre en valeurs Capitaine R?Volte - Ma?tresse ?lizabeth - http://motolyrics.com/capitaine-r-volte/ma-tresse-lizabeth-lyrics.html
riche en malheurs ou pauvre en peur
l'argent ne fait pas le bonheur
il est la source de nos malheurs (il est la source de nos malheurs)

mais plus ?a va et plus j'en ai de ces responsabilit?s (de ces responsabilit?s)
qui me forcent ? aller travailler
qui m'oblige ? arr?ter de jouer

?a fait 22 ans de soupires que je me pose encore cette question
qu'est-ce que je vais faire de mon avenir
faudrait que j'arr?te de faire le con
faut que je me trouve un bon emploi auto maison vie familliale
mais je pense que je ne suis pas sur la bonne voie
pour ce mod?le de vie normale
il y a quelques rares exceptions qui eux sont tr?s tr?s bien pay?s
qui ne font pas de prostitution
qui ne font pas semblant d'?tre choy?s
mais pour la plupart des autres pions
qui gagnent tout juste de quoi manger
un calvaire les attend chaque fois qu'ils s'en vont travailler