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Cyril Cinélu - Motown lyrics
[Lorraine Cato] "I Was Made To Love You"
(Evan Rogers/Carl Sturken) adaptation française Thierry Samoy
Les années Motown, Berry Gordy, Détroit, Michigan, États-Unis
Des cool Temptations aux sublimes Suprêmes
Voilà toute la musique que j'aime !
Je me saoule de Soul, de leur son vieille école
De Rhythm and Blues et des voix de Gospel.
J'ai chanté et dansé des heures et des heures
Imitant Diana Ross et Stevie Wonder.
Ils bercent encore mes heures de leur voix de Lover
Et parfois même mes peines, peines de cœur.
Ils bercent encore mes jours de leur voix de velours
Et parfois même mes nuits, nuits d'amour.
De Smokey Robinson au maître Marvin Gaye
Des Jackson Five survoltés
Terriblement sexy, toujours super sapés, Funk Brothers prêts à groover.
Je me saoule de Soul, des Live des Four tops
Des Commodores, label Tamla Records.
J'ai chanté et dansé des heures et des heures
Imitant Diana Ross et Stevie Wonder.
Ils bercent encore mes heures de leur voix de Lover
Et parfois même mes peines, peines de cœur.
Ils bercent encore mes jours de leur voix de veloursCyril Cinélu - Motown - http://motolyrics.com/cyril-cinelu/motown-lyrics.html
Et parfois même mes nuits, nuits d'amour, nuits d'amour.
Le temps ne changera rien, même s'il devient monotone
Sous le son Motown, nous faisons plus qu'un.
Le temps ne changera rien, même pour un triste automne
Sous le son Motown, nous faisons plus qu'un.
Je me saoule de Soul, de leur voix vieille école
De Rhythm and Blues et des voix de Gospel.
J'ai chanté et dansé des heures et des heures
Imitant Diana Ross et Stevie Wonder.
Ils bercent encore mes heures de leur voix de Lover
Et parfois même mes peines, peines de cœur.
Ils bercent encore mes jours de leur voix de velours
Et parfois même mes nuits, nuits d'amour, nuits d'amour.
Le temps ne changera rien, même s'il devient monotone
Sous le son Motown, nous faisons plus qu'un.
Le temps ne changera rien, même pour un triste automne
Sous le son Motown, nous faisons plus qu'un.
Ils bercent encore mes heures de leur voix de Lover
Et parfois même mes peines, peines de cœur.
Ils bercent encore mes jours de leur voix de velours
Et parfois même mes nuits, nuits d'amour.